La Louve
(Prologue)
Une soirée d’été dans la douceur
Alors que la France suffoque sous la chaleur
A la lumière de la pleine lune
Depuis le sommet des dunes
Là où l’on voit la mer
Se fondre dans l’univers
J’y ai découvert la force
Des sentiments cachés sous l’écorce
Ce combat permanent entre l’amour et l’amitié
Celui qui peut vous faire chavirer
Garder ses principes coûte que coûte
Puis vaciller sous le poids du doute
Quand enfin la pièce se vide
Que vient le temps des adieux acides,
Que l’on reste à deux avec la peur au bide
Et qu’en dévoilant ses sentiments
On entend cette phrase qui vous pousse dans le néant
« C’est dommage que tu ne l’ai pas dit avant … »
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